Synopsis 

Qui n’a jamais aux premiers jours du printemps soufflé sur une boule duveteuse de pissenlit pour regarder rêveur ses petites plumes blanches porteuses d'akènes s'envoler vers un ailleurs? C’est de ce ballet silencieux,  souvenir d’enfance, qu’est née l’idée du nouveau  spectacle  « Du vent dans les akènes » de David Verlet.

Le personnage principal de l’histoire est un akène de pissenlit, un parmi tant d'autres dans la nuée qui, porté par les airs et les chants harmonisés de Mélanie Gerber, retient notre intention et nous emmène à la découverte de la faune naturelle, animale et végétale.

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De décors en décors pop-up, l'akène virevolte, danse, nous embarque avec lui  dans sa  réalité. Il prend racine, devient pissenlit quelque part et revole à nouveau! Il nous conduit gracieusement dans l'intimité de son biotope. Qui mieux que lui peut sans un mot et sans brutalité ouvrir un peu plus encore les yeux, les sens et les consciences des petits et des grands sur l’insondable beauté de la nature, sur les terribles dangers qui la guettent et sur les blessures profondes que l’humain lui inflige encore.

                                                                   Sans frontière

On retrouve dans cette nouvelle œuvre les techniques chères aux univers de David Verlet, manipulation de marionnettes de papiers découpées, décors pop-up finement illustrés, ombres, pénombres et petites lumières manuelles, captations et projections de vidéos immersives, illustrations numériques… Mais cette fois sans utiliser le langage parler des humains. Le verbe est en effet tenu à l'écart du processus de création de ce spectacle, dans une volonté de lui donner une dimension universelle et laissant le champ libre à l’onirisme, à l’éveil des sens, à la poésie de chaque instant. Ainsi, par le biais d’une narration exclusivement visuelle, musicale et sonore, ce spectacle est apte à toucher les publics jeunes ou moins jeunes de tous les pays et de tous les horizons culturels. 

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